L’épidémie qu’a connu le monde, ces 4 derniers mois, initie-t-elle l’aube d’une révolution ?
La situation actuelle va-t-elle nous pousser à vivre dans un monde 100% augmenté, où le virtuel domine sur la réalité ?
Devant la puissance d’une intelligence artificielle, le monde du travail s’apprête également à être remodelé.
Entre une réalité et un fantasme, la virilité de l’IA imagine déjà une nouvelle vision du monde du travail.
Voici dès lors le télétravail qui s’est instauré dans la quasi-totalité des entreprises mondiales : Une mutation apparente qui accompagne un nouveau mode de travail, bouleversant les habitudes des employeurs et employés.
En commençant par les géants de la technologie, comme Alibaba et Google, vers les toutes petites et moyennes entreprises.
Tout a été temporisé : les déplacements au bureau, les réunions en face à face, la paperasse administrative … Pour se remplacer par des réunions en ligne et visioconférences sur Meet, Teams ou Zoom et des papiers qui se font signer désormais en ligne, pour confirmer, qu’à l’heure actuelle, tout se fait virtuellement.
De bonne habitudes ont été initiées. Et c’est affermi que le collaborateur peut travailler de n’importe où et que pour œuvrer, il n’a besoin que de son ordinateur et une bonne connexion internet. Non pas que. Le collaborateur et pour être productif, a besoin également d’un espace calme, de voir ses collègues, de discuter de temps à autres et de se changer les idées. Et cela n’a pas l’air d’être très pratique virtuellement.
Homme Vs Machine
L’avènement de la science des données et des algorithmes d’apprentissage ont permis aux entreprises d’accéder aux données, collectées de partout.
Et l’IA, à son tour, peut accélérer le traitement des données pour répondre aux différentes problématiques, de reconnaissance faciale par exemple, de biométrie visuelle ou d’automatisation générique.
Les collaborateurs de l’entreprise seront ainsi, et pour très bientôt, amenés à collaborer avec des intelligences artificielles dans leurs activités professionnelles quotidiennes.
Pour en profiter au maximum, et en tirer le meilleur parti, l’entreprise, accompagnée de ses employés doivent se réinventer pour continuer l’ activité et ne pas se sentir délaissée, en vue des technologies émergentes.
Toute l’entreprise doit subséquemment évoluer et pousser ses employés à continuer leur apprentissage pour s’adapter aux nouvelles visions du monde du travail, arguées par l’arrivée d’une IA, à la fois surpuissante et stupide.
L’informaticien Gérard Berry l’a d’ailleurs bien expliqué dans l’une de ses expressions : « L’Homme est lent, peu rigoureux et très intuitif. L’ordinateur est super rapide, très rigoureux et complétement con. »
C’est de là, qu’on peut conclure, qu’au lieu d’être concurrents, l’homme et l’IA sont complémentaires.
Le travail de demain implique de ce fait, les hommes augmentés par des machines au lieu d'engager que la machine.
Ainsi, cette dernière ne viendra et en aucun cas, remplacer l’homme.
Même s’elle est devenue intelligente, dotée d’un esprit et d’une conscience. Même s’elle reproduit l’activité du cerveau humaine.
Et même s’elle ne se trompe jamais.
Elle ne pourra jamais remplacer l’homme.
Et comme a expliqué le CEO de Figure Eight, une plateforme parmi d’autres, conçue pour les sciences des données, en démontrant que « les humains et les machines sont différents. L’intelligence artificielle possède une grande puissance mathématique, elle peut traiter d’immenses quantités de données. Les humains, eux, sont excellents pour saisir le contexte. Face à un auditoire, nous savons instantanément que les personnes sont assises les unes derrière les autres. Un ordinateur ne voit que des pixels et n’a aucune notion de la profondeur de champ. »
Et c’est ce qui est, tout à fait vrai. Devant la puissance de l’IA, l’homme ne deviendra jamais esclave.
Monter en compétences pour accompagner l’émergence
L’IA permettra, en futur, au business d’en tirer profit. En opérationnalisant ses solutions, elle améliorera les process internes et développera de nouvelles offres.
L’erreur à ne pas faire, c’est d’ignorer l’apprentissage et ne penser que Data.
L’IA va certainement induire des changements et cela a déjà été initié par des solutions automatisant les tâches administratives rébarbatives.
Et si certaines tâches ou carrément certains métiers disparaissent, d’autres seront manifestement créés en retour. Et cela nécessitera des compétences, qu’on ne peut, peut-être pas prévoir présentement.
C’est dans ce sens, où les entreprises et leurs employés, ne doivent se limiter à leurs connaissances actuelles.
Il va devenir indispensable de s’instruire et cultiver son aptitude à développer de nouveaux talents et de nouvelles compétences, pour pouvoir s’adapter à l’évolution du marché de travail.
Nous assistons aujourd’hui à une transmutation révolutionnaire.
En perpétuelle évolution, les dernières technologies de l’IA assurent un résultat garanti, avec moins d’effort et plus d’efficacité.
Des connaissances qui se construisent désormais à partir de masses de données illimitées ou encore des automates qui reconnaissent la parole énoncée et comprennent des textes consignés en langage naturel.
Plusieurs exemples peuvent en témoigner : la commande vocale aux performances personnalisées, la reconnaissance faciale ou les bots de conversation.
Les solutions de l’IA proposent sitôt, la gestion de contenu, la gestion du flux de travail numérique, de bout en bout. Elles servent aussi à analyser le marché, résumer les tendances, automatiser les réponses, optimiser la distribution des mails et même passer en revue les données clients.
Les robots, la réalité augmentée, tout va dans le sens où on fait apprendre à la machine à comprendre les choses délicates.
Il est donc à noter que l’IA se structure en 3 besoins pour assurer 3 grands actes:
* Identifier les données qui permettront de détecter quelles sont les informations productives que l’entreprise a besoin de transmettre,
* Spécifier quel objectif permettra à l’entreprise de prendre des décisions,
* Comment l’entreprise va-t-elle contrôler pour réviser ses procédures et les développer.
Ce qui vient confirmer que les solutions de l’IA se développent pour planifier, produire, personnaliser, promouvoir et garantir une performance au sein de l’entreprise.
Vers une première step d’implémentation de l’IA ?
Comme l’entreprise a intérêt de piloter l’IA, il serait idéal d’initier le changement sur la partie marketing de contenu.
Essentiellement parce que le contenu reste la première composante qui sert à convertir.
Ici viennent les 5 P de l’IA en marketing de contenu et qui expliquent comment l’intelligence artificielle peut guider une entreprise à élaborer et personnaliser sa stratégie de marketing de contenu.
En présumant ainsi que l’entreprise pourrait appliquer les différentes solutions de l’IA, quelle serait la valeur pour les employés d’automatiser intelligemment les différents cas d’utilisation ?